Carte d'identitée
๑ Prénom: Côme
๑ Nom: Maresquo
๑ Date et lieu de naissance: Le quinze mai en France
๑ Nationalité: Franco-américaine
๑ Emplois ou étude: Commerçant dans une boutique de souvenir.
๑ Groupe: Immeuble de la méduse

Dans la tête
๑ Votre résolution:
Le point de non-retour. Voilà, je l’ai atteint. C’est comme être au bord d’un gouffre dans lequel on plongerait, consciemment ou non. La chute n’est alors qu’une confrontation mortelle entre nous et toutes nos erreurs. Les secondes passant telles des heures. La bande du film de notre vie passant en ralentit tous les points ou nous avons fautés. Les regrets nous assaillissent, les uns après les autres. Et ce n’est que maintenant que l’idée de se racheter effleure nos esprits étriqués. Dans mes regrets, je te vois. Je vois ton visage autrefois si serein qui se mue en un tableau sombre et emplis du désespoir que j’y ai gravé. Je vois tes yeux où l’étincelle de malice à disparu, remplacé par la crainte de voir ton monde s’écrouler. On s’accroche, on s’enchaîne l’un à l’autre et lentement, on coule. L’atterissage n’est que plus violent lorsqu’on comprend que dans notre chute nous avons emportés ceux à qui on tenait le plus. Sur ce lit d’hôpital, ton visage était redevenu celui d’autrefois, serein et angélique. J’ai comprit alors, que j’étais le bourreau de ton existence. Qu’avec moi, ton monde ne serait jamais beau. Mes lèvres posés sur tes lèvres comme un ultime adieu, mes pas on déchirer le silence tandis que je quittais ta chambre. Pour nous, il le fallait, je devais partir. Te laisser. J’avais été égoïste de croire que nous pouvions être Louise & Côme ensemble. Toi, tu ne pouvais pas être Louise avec moi.

Montréal m’accueille, terne et insignifiant, sans toi, tout est gris. Mais tant pis. Repartir du bon pied, tenter de vivre à nouveau, voilà ma résolution, mon objectif. Et je sais d’avance que le chemin sera rude pour parvenir à faire disparaître ton si beau visage de mon esprit sombre qui n’était illuminé que par toi.


Dans la tête
๑ remember me:
La cigarette à mes lèvres, autrefois j’avais arrêté, car tu étais là, tu me rappelais sans cesse que le tabac avait un effet néfaste sur ma personne. Pour tes beaux yeux, j’avais arrêté. Mais cette résolution s’est envolée en même temps que mon avion pour Montréal. ☇La pluie calme ma quiétude, lorsqu’elle s’abat sur la ville, je ne peux m’empêcher de déambuler dans les rues, qu’importe l’heure du jour, ou de la nuit, je laisse la fraîcheur du moment engourdir mes membres et me faire oublier le monde. ☇L’électronique m’insupporte, comme venu d’un autre monde, je valorise la carte postale au mail, les post-it aux sms, la lecture aux programmes télé. ☇Haïssant les surnoms, impossible qu’on diminue mon prénom ou que je module celui des autres, qu’importe la longueur de celui-ci. ☇La caféine est une drogue à laquelle je me suis abandonné bien trop souvent, pourtant désormais, le goût me répugne. ☇Les sentiments n’ont jamais été simple à mes yeux et ne le seront sans doute jamais, l’expressivité n’est pas mon fort, je me cantonne au non-dit que j’espère être explicite. A tort. ☇La famille n’est rien d’autre qu’un foyer dans lequel on est éduqué et qu’on quitte sitôt qu’on en à l’âge. ☇L’hiver est un fléau, de long mois ou le monde semble stagner davantage encore, l’automne toutefois, possède une mélancolie que j’adore. ☇L’amour est une illusion à laquelle on veut croire pour donner un sens à nos vie. J’ai arrêté d’y croire.

Citation :

pseudo/prénom assya › âge // › avatar Nicolas Duvauchelle › présence sur le forum Autant que faire ce peux. › un petit commentaire? Le forum est sublime !